Tous les étudiants en onzième année de l'immersion française se sont réunis ensemble jeudi, le 7 novembre 2013 en Bloc E pour une visite avec Michèle Marineau, écrivaine du livre La Route de Chlifa. Même si elle n'est pas venue en chair et en os, les étudiants ont pu bénéficiés avec un appel de Skype fait dans la bibliothèque. En premier, elle a parlé à propos de sa source d'inspiration pour le livre puisqu'elle n'a jamais voyagé au Liban, où le livre se déroule.
Marineau faisait un rencontre pour un de ses livres précédants à une école où presque 85% des étudiants étaient des immigrants quand elle a premièrement pensé de l'idée. Là, plusieurs des élèves n'ont pas aimé son livre parce que c'était si différent de ce qu'ils ont rencontré. Ils pensaient que les personnages étaient méchants et impolis et ont trouvé le livre inconfortable à lire à cause des rencontres sexuelles. Cet énorme choc culturel l'a inspiré à écrire un roman au sujet des immigrants. Elle ne savait pas déjà l'intrigue, mais elle parlait aux classes de l'école pour des idées. Puis, l'automne 1989, Marineau a eu un rêve où elle était une fille de longues tresses noires, portant un bébé, qui marchait derrière un homme plus âgé, semblable à une des scènes du livre. Elle a finalement choisi le Liban comme sa place d'action à cause de la guerre civil qui se passait là à ce temps. Marineau a fait plusieurs recherches, lisant des livres fiction et non-fiction du Liban, mais elle toujours s'efforçait du fait qu'elle n'était pas libanaise, qu'elle n'avait pas le droit d'écrire une histoire à propos de quelqu'un d'autre. Après qu'elle a reçu une lettre d'une fille libanaise, Marineau a finalement eu assez d'assurance pour l'écrire. Pendant trois ans, elle a discuté et verifié ses faits à propos de la culture libanaise avec cette fille libanaise et sa famille. Finalement, La Route de Chlifa était publié le 21 octobre 1992. Après son explication, les étudiants ont pu demander les questions au sujet du livre. Peut-être la plus fréquente question, "Qui était la narratrice?", était la plus interessante parce qu'elle restait inconnue pendant le livre entier. Selon Marineau, la narratrice s'appelait Rachelle même si elle ne l'a pas mentionné. Elle était une fille dans la classe d'école en Québec qui donnait ses observations de Karim. Elle est restée inconnue parce que Marineau voulait que les lecteurs se concentraient sur l'histoire de Karim, le personnage principal du livre. En tout cas, c'était une discussion intéressante qui a donné beaucoup d'aperçu du livre aux étudiants en onzième année de l'immersion française. En plus, c'était une chance pour eux de manquer l'école! Aamenah Meghjee
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